Où as-tu trouvé la base de ton fixie ?
J’ai trouvé la base de mon vélo urbain par hasard sur Facebook. C’était une annonce située à quelques kilomètres de chez moi. J’ai donc sauté sur cette occasion et acheté la base de mon fixie.
Pourquoi monter un fixie ?
En fait, c’est un collègue de travail qui m’avait fait découvrir les fixie il y a déjà quelques années. Depuis, l’idée me trottait dans la tête. Mais vivant alors à la campagne, un VTT était plus approprié. Quand j’ai déménagé en centre ville d’Avignon il y a un an, j’ai trouvé le bon prétexte pour m’y mettre. Et puis, j’avais déjà un look de hipster, alors…
Quels matériels as-tu ajoutés ?
Tout d’abord, du vélo urbain d’origine, j’ai conservé le cadre, la, fourche et le guidon auxquels j’ai greffé un boitier de pédalier Vélo Orange, un pédalier Lasco et une chaîne demi maillon afin d’obtenir un fixie vintage plus confortable. J’ai trouvé les roues, les pédales Wellgo et la selle BLB sur un groupe Facebook. Ensuite, la guidoline Brooks sur Cdiscount et les lanières de cale-pieds chez bike24. Au final, ce fixie vintage me revient à moins de 300 €.
As-tu eu des problèmes de montage ?
Le plus gros problème que j’ai rencontré au cours du montage de mon vélo a été la dépose du pédalier à clavettes et du boitier de pédalier d’origine. J’ai finalement dû confier cette tâche à un professionnel tant ils étaient grippés. Sinon je n’ai rien rencontré de bien compliqué.
Heureux ?
A l’usage, je trouve que le pédalage en roue fixe est plus naturel. En effet, comme pour la marche à pied, on ne s’arrête de pédaler que lorsqu’on n’avance pas. J’apprécie aussi la grande légèreté et le silence de fonctionnement qui rendent mon fixie vintage encore plus confortable. En bref, oui, heureux !
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